Juliette huma l’air pour essayer de trouver un peu de fraîcheur dans la nuit torride de ce mois d’août 1956, sans y parvenir. Pas un souffle de vent ne venait attiédir l’atmosphère.
Dehors, les ombres mystérieuses et sombres des grands arbres du parc se détachaient dans une nuit obscure constellée de milliers d’étoiles brillantes.
Elle resta un moment à contempler l’immensité du firmament, avec l’impression d’être aspirée dans une spirale enivrante.