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New York était à cette époque – et l’est resté longtemps – le centre le plus actif de maquillage de navires et de falsification des papiers de bord. La moitié au moins des bâtiments de commerce qui y relâchaient ne portaient pas leur nom d’origine, ayant plusieurs fois changé de propriétaire dans des conditions que le capitaine du port, débordé par la constante augmentation du trafic, n’avait guère le temps d’élucider.