Le grizzli irradiait la puissance. Il était pouvu d'une grande force physique et d'un tempérament irritable qui l'autorisait à attaquer et à tuer chaque fois qu'il en avait envie. Mais, presque toujours, il choisissait de ne pas le faire et cachait son pouvoir derrière des fanfaronnades de dur. C'était le genre de maitrise de soi qui commandait le respect - un acte de grâce musculaire.