Ensuite, je l'entends. Penché sur moi, la voix lointaine, il s'excuse. Encore et encore. C'est tout. J'essaie de lui dire que ce n'est pas sa faute, mais les mots bloquent, comme si j'avais la bouche pleine de cailloux. Alors, il disparaît, et je ne perçois plus qu'une espèce de vent dans le noir, un peu comme des battements d'ailes, des centaines, des milliers d'ailes, peut-être. Puis, plus rien.