Je regrette de ne pas pouvoir savoir ce qui va sortir de la conjonction des énormes crises que subit aujourd’hui l’humanité. Je regrette qu’il puisse me manquer une année ou deux pour percevoir ce qui se dessine, se détruit, prend forme. Je crains qu’advienne une longue période régressive, tout en sachant que l’improbable peut tout modifier, en mieux comme en pire. Je vais partir en plein suspense historique.