Et si Rothko, errant dans un monde ayant perdu la foi, n'avait peint ses immenses toiles que pour tenter, désespérément, d'en dissimuler le vide, le néant ? (p. 22)
[...] Peinture existentielle, brutale, dont les ciels de ténèbres vibrent sous le cri déchirant de l'être. (p. 22-23)