Ma sœur, si jeune et si belle, ne portait plus que des tuniques amples et longues, d'un seul tenant, qui ne laissaient rien voir de ses épaules, de son cou ou de ses bras, encore moins de ses jambes. Comme si elle avait été prisonnière d'un uniforme. Comme si on pouvait mettre la tentation à l'abri sous une robe ample et une perruque.