Les Ana ont un proverbe qui donne à cette différence de prononciation un sens symbolique ; c'est que le sexe féminin est doux pris collectivement, mais que chaque femme est dure quand on a affaire individuellement à elle. Les Gy-ei jouissent d'une parfaite égalité de droits avec les Ana, égalité que certains philosophes sont encore à réclamer sur la terre.