Ce qui n’allait pas, conclut-il, c’était son immaturité. Son corps et son sabre ne formaient pas encore une unité ; ses bras avaient beau devenir de jour en jour plus robustes, son esprit et le reste de son corps n’étaient pas en harmonie. Avec sa tournure d’esprit portée à l’autocritique, cela lui faisait l’effet d’une difformité paralysante.