"Je suis trop vieux pour apprendre." Cette croyance suppose que l'apprentissage est limité à une certaine tranche d'âge, ce qui n'est pas vrai. Vous pouvez toujours apprendre et vous développer à tout âge. On arrête d'apprendre uniquement quand on meurt.
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Comparer sa vie à celle des autres, c'est un peu comme essayer de manger une soupe avec une fourchette : c'est frustrant, ça n'a pas de sens et ça vous laisse toujours affamé.
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Ces expériences traumatisantes, comme un accident de voiture, la rupture de cette relation qui devait durer éternellement, une enfance difficile et éprouvante, ou encore le jour où votre boss a décidé que vos talents seraient mieux utilisés ailleurs, au chômage, par exemple. Ou de n'importe quelle autre mise à l'épreuve de la vie. Elles sont nos chutes brutales, nos arrêts nets sur le chemin de l'épanouissement personnel.
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N'oubliez pas, vos échecs ne définissent pas votre valeur, pas plus qu'une éraflure ne ruine une œuvre d'art.
[p18-19]