Alcibiade est amoureux de Socrate car il l'écoute. Et Socrate envoûte ses disciples, c'est un enchanteur. (...)
Fasciné, on ne peut que s'y attacher et en redemander. Pourquoi ? Parce qu'il nous parle de l'Absolu et de ses différentes figures, le vrai, le bon, le beau. Et nous sommes amoureux de ce discours. (p. 155)