Lorsque je repose le combiné du téléphone sur son socle, malgré la chaleur du mois d'août, j'ai froid, terriblement froid. Du même froid qui vous étreint dans les cimetières lorsque le corps d'un être aimé et retourné à la terre. On a toujours froid dans les cimetières, même au cœur de l'été.