Assez, c’est assez ! Il est temps que vous sachiez, il est temps de parler. Depuis tout ce temps, je retenais ma bouche de mes deux mains, mais il est temps de m’écouter. Je n’ai pas survécu pour vivre, mais plutôt pour témoigner, pour dire leur vie à eux, vous dire ce qu’ils avaient comme rêves, et pour dire leur mort atroce, la haine des tueurs toujours marquée sur les restes du corps