En regardant ce visage pur et blanc, il fut saisi par le sentiment de ce qu’elle représentait pour lui, un sentiment si aigu et si douloureux qu’il l’exprima à voix haute :
- Oh, ma Margaret... ma Margaret ! Personne ne peut savoir ce que vous êtes pour moi ! Vous qui gisez là, froide comme une morte, vous êtes la seule femme que j’aie jamais aimée. Oh, Margaret... Margaret !