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3.46/5 (sur 255 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Biographie :

Elizabeth Kay est éditrice et écrivaine.

Diplômée en littérature anglaise, elle est rédactrice en chef chez Penguin Random House et se consacre en parallèle à sa passion pour l'écriture.

"Sept mensonges" ("Seven Lies", 2020) est son premier thriller.

Elle vit avec son mari à Londres.

son site : https://www.elizabethkaybooks.co.uk/

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[Booktrailer] 7 mensonges - Elizabeth Kay


Citations et extraits (57) Voir plus Ajouter une citation
Une fois, elle m'avait expliqué ce que c'était de perdre les mots, de sentir qu'ils s'égaraient avant de franchir les lèvres. Elle m'avait raconté que c'était comme conduire des enfants à l'école : chaque mot était un enfant, mais ils étaient ingérables et arrivaient en retard ou, parfois, n'arrivaient pas du tout, traînaient en chemin, tournaient en rond ou, pire encore, quand ils arrivaient, ce n'étaient pas les bons, c'étaient ceux de quelqu'un d'autre, et pas ceux qu'elle voulait.
Le silence était une alternative moins redoutable.
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Tu n'as jamais détesté personne comme je détestais Charles, donc je sais que tu ne peux pas comprendre à quel point ce moment était jubilatoire pour moi. J'étais étourdie de plaisir, ivre de bonheur. Je ne m'attendais pas à ressentir ça un jour pour lui.
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Le chagrin n'a pas de logique. Il n'y a pas de chemin tout tracé que chacun doit suivre ; il y a simplement des moments où la peine est supportable et d'autres où elle ne l'est pas.
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Je voudrais te parler des semaines qui ont suivi la mort de mon mari. Elles ont été sans l’ombre d’un doute les pires de ma vie et il n’y a pas de mots assez forts pour les décrire. Le langage est incapable de transcrire les tremblements qui te secouent à la suite d’une perte aussi terrible. La mort est omniprésente, dans chaque pensée et à chaque instant où tu voudrais être avec la personne défunte. Mais ce n’est qu’un des piliers du deuil. Globalement, tu perds plus qu’une personne : tu perds une vie. Pendant les premiers mois, c’étaient tous ces instants que nous n’avions pas vécus et que nous ne vivrions jamais qui m’ont fait le plus souffrir.
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On s’extirpe de sa famille, puis de ses amis, un bras ou une jambe à la fois, os après os, souvenir après souvenir, quand on construit son couple, quand on devient la moitié d’une paire. Je pensais que le processus s’arrêtait là, que c’était l’étape finale. Je n’avais pas réalisé que le schéma se répétait ensuite. Que ce processus n’était pas un fil, mais un cercle : on passe d’une étape à une autre, jusqu’à se retrouver au point de départ, de sorte qu’à la fin on revient à nouveau à la famille.
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En vieillissant, en côtoyant petit à petit la mort sous toutes ses formes, quand elle devient une partie de ton univers, tu apprends que toutes les morts s’adoucissent dans les mois et les années qui suivent. Ses contours s’émoussent; ils ne tranchent plus aussi profondément et ne te font plus saigner de la même manière. Parfois, tu ris de ce qui t’a fait fondre en larmes quelques temps auparavant. Mais des contours émoussés sont toujours redoutables, et ils peuvent redevenir coupants sans crier gare, à cause d’un commentaire indélicat ou d’un anniversaire, ou même quand tu te souviens d’un moment heureux. Le chagrin n’a pas de logique. Il n’y a pas de chemin tout tracé que chacun doit suivre; il y a simplement des moments où la peine est supportable et d’autres où elle ne l’est pas.
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Je n'arrivais pas à croire qu'un homme puisse aimer une personne aussi triste et aussi peu sûre d'elle. Mais Jonathan avait trouvé chez moi des choses à aimer, à adorer même. Il admirait ma nature compétitive. Il était impressionné que je n'aie jamais perdu un quiz dans un pub. Il trouvait formidable que j'arrive toujours en avance aux rendez-vous. Il était stupéfait que je sois capable de lire un roman en une journée. Il aimait que je sois méticuleuse, perfectionniste, que je veuille accrocher nos cadres moi-même. Et, grâce à lui, j'avais fini par apprécier aussi ces traits de ma personnalité.
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Qu'est-ce que ça fait de vivre sans ces choses ? Sans amour, sans rire, sans amitié, sans espoir ?
Je ne veux pas le savoir.
Je refuse de vivre une vie pareille.
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"Je l'ai regardée épouser un homme que je détestais mais qu'elle aimait et c'était moins horrible que je le redoutais. Je n'avais d'yeux que pour elle ce jour-là. J'étais absorbée par ses cheveux auburn, enroulés en chignon à l'arrière de s at^te, par son collier de diamants, sa robe blanche, son long voile en dentelle. Sa joie me faisait plaisir. J'étais fière de prendre part à gun moment aussi important de sa vie."
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Existe-t-il un monde où les femmes ont une meilleure amie et un mari ? Ou est-ce toujours l'un au détriment de l'autre ?
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