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Citations de Elle Kennedy (667)


Je débarque dans le vestiaire et...
Des pénis !
Doux Jésus.
Des pénis, partout !
Je suis horrifiée par ce que je vois. Mon Dieu. Je viens d'interrompre un colloque de pénis. Des grands pénis et des petits pénis, des gros pénis et des pénis qui ressemblent à des pénis. Peu importe où je tourne la tête, il y a des pénis à perte de vue.
Mon cri de surpris attire l'attention de tous les pénis - euh, de tous les mecs de la pièce -, et une seconde plus tard, ils - les pénis - ont tous disparu derrière des serviettes, des mains et des casques de hockey, et moi je reste plantée là, rouge comme une tomate.
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– Tu envoies des messages de cul pendant que je te file un cours ? C’est quoi ton problème ?
– C’est pas moi qui écris, dit-il en soupirant. C’est elle.
– C’est cela oui. C’est forcément de sa faute.
– Lis mes réponses si tu veux. Je ne fais que lui dire que je suis occupé. Je n’y peux rien si elle ne comprend pas.
Je fais défiler les messages pour remonter dans la conversation et je découvre qu’il dit la vérité. Tous les messages qu’il a envoyés durant les trente dernières minutes expliquent qu’il est occupé, qu’il révise et qu’il parlera plus tard. Je soupire avant de taper une réponse sur l’écran tactile. Garrett proteste et essaie de reprendre son téléphone, mais c’est trop tard car j’ai déjà appuyé sur « envoyer ».
– Là. Problème réglé.
– Wellsy, je te jure que si tu as…
Il ne finit pas sa phrase, occupé à lire ma réponse.
"C’est la prof de Garrett. Tu commences à sérieusement m’agacer. On finit dans 30 min. Je suis sûre que tu peux tenir encore un peu avant de mouiller ta culotte. "
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J'adore ce moment juste avant de me réveiller, lorsque le brouillard de l'inconscient commence à se dissiper pour laisser place à la cohérence. Lorsqu'on est désorienté et que la moitié de notre cerveau est encore perdue dans les rêves.
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– Tu as interdit à tous les mecs du campus de m’approcher ? Tu es sérieux ?
Je plonge mon regard dans le sien et je sais qu’elle n’y voit pas le moindre remords.
– Bien sûr !
– Mon Dieu, tu es incroyable, dit-elle en secouant la tête. Qui fait ça, Garrett ? Tu ne peux pas menacer tous les mecs de la fac de leur botter le cul s’ils me touchent !
– Je n’ai pas menacé tous les mecs. Tu crois que j’en ai le temps ? Je l’ai simplement dit à quelques personnes clés et je me suis assuré qu’elles feraient passer le message.
– C’est quoi l’idée ? Si tu ne peux pas m’avoir, alors personne ne peut m’avoir ?
– Mais non, ce serait fou ! Je ne suis pas un psychopathe, voyons. Je l’ai fait pour ton bien, Wellsy.
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Tu es la dernière personne à qui je pense avant d'aller dormir, et la première personne à qui je pense quand j'ouvre les yeux le matin.
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- J'ai des A partout, sauf en Histoire Hispanique où j'ai un C, mais j'ai réussi mon dernier devoir, donc ça va. Faut croire que je ne pas aussi débile que tu le pensais, hein ? dis-je en lui faisant un clin d'œil.
- Je n'ai jamais pensé que tu étais débile, juste un enfoiré.
- Alors, tu admets que tu avais tort ?
- Non, tu es toujours un enfoiré, mais un enfoiré intelligent, dit-elle en souriant.
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- [...] Pourquoi tu ne veux pas m'embrasser ? Oh ! Je sais ! Il n'y a qu'une seule raison possible : tu ne sais pas embrasser.
- N'importe quoi ! s'exclame-t-elle outrée.
- Ah bon ? Alors prouve-le, je dis d'une voix suave et séductrice.
[...]
- Je n'ai pas à prouver quoi que ce soit. Il s'avère que j'embrasse incroyablement bien. Hélas, tu ne le sauras jamais.
- Ne jamais dire jamais, rétorque-t-il d'une voix chantante.
[...]
- C'est naturel d'avoir peur, poursuit-il. Ne te laisse pas abattre, Wellsy. [...] Tu sais quoi ? Si tu as trop peur de m'embrasser, je ne vais pas te forcer.
- Peur ? Je n'ai pas peur, espèce d'abruti. Je n'ai pas envie, c'est tout.
- Tu manques de confiance en toi, mais ne t'en fais pas, il y a beaucoup de gens qui ne savent pas embrasser. Je suis sûr qu'avec de l'entraînement et de la persévérance, un jour, tu pourras...
- Très bien. Allons-y Graham.
Soudain, Garrett se tait et il écarquille les yeux. Ha ha ! Il ne s'y attendait pas ! Nos regards se croisent et ne se quittent plus. Il attend que je cède, mais je vais gagner cette fois-ci. C'est sans doute enfantin de ma part, mais Garrett a déjà obtenu que je lui donne des cours de soutien, je refuse de perdre toutes les batailles. Cependant, je l'ai sous-estimé, encore une fois. Son regard s'assombrit puis devient brûlant. Il est plein d'assurance, certain que je ne vais pas aller au bout.
- Montre-moi de quoi tu es capable alors, dit-il d'une moqueuse.
J'hésite. Il est sérieux, ou quoi ? [...] Cependant...ce n'est peut-être pas aussi simple. Mon sang s'est embrasé dans mes veines, mes mains tremble d'excitation - pas d'angoisse - et lorsque j'imagine sa bouche sur la mienne, mon cœur bat la chamade. Qu'est-ce qu'il m'arrive ?
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Il mettrait sa tronche sur une pub de laxatif, toutes les femmes du monde se mettraient à prier d’être constipées.
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– Tant mieux, répond-il avant de se racler la gorge. Je veux que tu boives, ce soir.
– Quoi ? Pourquoi ? je demande en me crispant.
– Parce que je pense que ça te fera du bien.
– Attends, c’est pour ça que tu m’as invitée ? Pour me saouler ?
– Bien sûr que non, répond Garrett en secouant la tête. Pour que tu voies que tu as le droit de baisser ta garde de temps en temps. Écoute, je conduis donc je ne boirai pas, mais je ne te propose pas seulement d’être ton chauffeur. Je serai ton garde du corps, ton barman, et surtout ton ami. Je promets de prendre soin de toi, Wellsy.
Je suis étrangement touchée par son discours.
– Je ne suis pas une alcoolique qui a besoin de boire, Garrett.
– Je ne pense pas du tout ça, espèce d’imbécile. Je veux juste que tu saches que si tu décides de boire un verre ou deux, tu n’as pas à t’inquiéter. Je suis là. Je sais que ton amie a vécu une mauvaise expérience, mais je te promets que je ne laisserai jamais rien t’arriver. 
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Tu crois que ça me plaît? je m’exclame. Crois-moi, mec, je n’ai absolument pas besoin de ça en ce moment, je dis avant de boire une gorgée. Eh, tu sais, Twilight?
– Je te demande pardon? répond-il en clignant plusieurs fois des yeux.
– Twilight. Le bouquin sur les vampires?
Il m’étudie d’un air soucieux.
– Et alors?
– Ben, tu sais, la manière dont le sang de Bella est spécial pour Edward, qu’il le fait bander dès qu’il est prêt d’elle?
– Tu te fous de ma gueule, là?
J’ignore sa remarque indignée.
– Tu crois que ça peut arriver dans la vraie vie?Avec les phéromones et toutes ces conneries? Est-ce que c’est une théorie débile qu’a inventée un psychopathe pour justifier son attirance pour sa mère? Ou est-ce qu’il y a une raison biologique qui explique qu’on est attiré par certaines personnes? Comme dans cette foutue série, Edward l désire sur un plan biologique, non?
– Tu es vraiment en tain de parler Twilight avec moi ?
Mon Dieu, oui. C’est à ça que m’a réduit Allie,à un pauvre loser pathétique qui va dans un bar et oblige son pote à rejoindre un fan-club de Twilight.
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« Je déteste ce mot. Viol. C’est moche et déprimant, un des rares mots qui vous fait l’effet d’une claque dans la gueule ou d’un seau d’eau glacée sur la tête. »Chap2 Garett
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- Qu'est-ce qui se passe ici?
Hannah sursaute lorsque le coach entre dans la salle de douche.
- Salut, Coach. Ce n'est pas ce que vous croyez.
Il n'a pas l'air content.
- Ce que je crois, c'est que tu te douches devant ta copine. Dans mon vestiaire.
- Dans ce cas, c'est bien ce que vous croyez. Mais je vous jure que c'est innocent. Il ne va rien se passer de sexuel, dis-je en lui souriant. J'essaie de la reconquérir.
Le coach ouvre la bouche puis il la referme puis il la rouvre. Je n'arrive pas à savoir s'il est amusé, énervé ou s'il veut juste oublier tout l'épisode. Il finit par hocher la tête et choisir la troisième option.
- Poursuivez, dit-il.
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Tout à coup, il tend la main et m’arrache mon téléphone.
– Eh ! Qu’est-ce que tu fais ?
Abasourdie, je le regarde diriger la caméra sur lui pour prendre un selfie.
– Tiens, dit-il en me rendant le téléphone. Envoie mon joli minois à tous tes contacts en leur disant que je te ramène chez toi. Comme ça, si on te retrouve morte demain, tout le monde saura qui est coupable. Et si tu veux, tu peux garder ton doigt sur le bouton d’appel d’urgence pendant tout le trajet au cas où tu ressentirais le besoin d’appeler les flics. Est-ce que je peux te ramener, maintenant ?
Je n’ai aucune envie d’attendre mon taxi seule dehors et sans manteau, mais je proteste une dernière fois.
– Qu’est-ce que tu as bu ?
– Une demi-bière. (Je hausse les sourcils.) Ma limite, c’est une bière. J’ai entraînement demain.
Ma résistance s’effondre en voyant son expression sincère. J’ai entendu de nombreuses rumeurs à propos de Garrett, mais aucune n’implique l’alcool ou la drogue. Par ailleurs, les taxis prennent toujours leur temps pour arriver. Ça ne me tuera pas de passer cinq minutes dans la voiture avec ce mec. Et puis s’il m’agace – ou  plutôt quand il m’agacera – je peux refuser de lui parler.
– D’accord, tu peux me ramener. Mais ça ne signifie pas que je vais te donner des cours de soutien.
Son sourire arrogant est insupportable.
– On en parlera pendant le trajet. 
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Parce que c’est l’amour, le but ultime. Ce n’était pas ce que je cherchais, mais c’est celui que j’ai eu la chance, une chance incroyable, de pouvoir atteindre.
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- Je fais ce que je veux, quand je veux. Je me fiche de ce que les autres pensent de moi.
- Ca a l'air sympa. Hélas, la vie n'est pas ainsi.
- Mais c'est toi qui dois décider de la vie que tu veux mener, ma belle.
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- Que penses-tu d'un rencard? proposé-je.
Ça a le don d'attirer son attention. Elle se redresse comme si quelqu'un venait de lui enfoncer une tige en métal dans la moelle épinière, puis elle tourne la tête avec stupéfaction.
- Quoi?
- Ah, là j'ai toute ton attention.
- Non, tu as mon dégoût. Tu crois vraiment que j'ai envie de sortir avec toi?
- Tout le monde veut sortir avec moi.
Elle éclate de rire...
- Juste par curiosité, dit-elle, après t'être réveillé, est-ce que tu t'admires dans le miroir pendant une heure ou deux?
- Deux, rétorqué-je gaiement. J'embrasse ensuite chacun de mes biceps et ensuite je regarde le plafond pour remercier le grand barbu là-haut d'avoir créé un être aussi parfait.
Elle renifle.
- Hmm. Bien, désolée de briser tes illusions, Monsieur Parfait, mais sortir avec toi ne m'intéresse pas.
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– On est arrivés à Boston et je me suis rendu compte que j’avais oublié mon portefeuille. Alors on a dû revenir, et maintenant…

Logan s’arrête en dérapant brusquement, à la manière d’un personnage de dessin animé.

– Euh…

Il balaye la salle de bains du regard. Ses yeux s’arrêtent sur son pantalon suspendu au porte-serviettes, puis sur la baignoire, où je barbote paisiblement dans un nuage de bulles à la fraise. Puis il regarde Winston.

– Mec, je m’exclame. Ce n’est pas ce que tu crois.

– Non, non, non, je ne veux pas savoir ! crie Logan en levant les mains en l’air et en reculant, comme s’il venait d’entrer dans la tanière d’un ours.

Il s’arrête, saisit son pantalon, puis il continue sa marche arrière. Son regard se pose de nouveau sur le godemiché rose qui est à cinq centimètres de ma main.

– Je te promets que ce n’est pas…

– Je ne veux rien savoir !

Il se dépêche de claquer la porte derrière lui. J’entends ses pas s’éloigner vers l’escalier, revenir vers la salle de bains.

– Écoute, je vais dormir chez Gracie ce soir. Comme ça, tu pourras… euh… finir ce que tu… ce que tu fais.

Putain.
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– Pourquoi c’est toi qui commences ? je demande.
– Parce que j’ai un vagin.
– Très bien, mais moi j’ai un pénis.
– Ce n’est pas comme ça que ça marche, répond-elle sur un ton exaspéré.
– Alors, comment ça marche ? Parce que la dernière fois que j’ai vérifié, les parties génitales ne décidaient pas de qui écoute sa musique en premier.
– Bien sûr que si, dit Allie en me parlant comme si j’étais en maternelle. Tu comprends, si tu m’enlèves ton pénis, je peux tenir pendant des mois. Des années, même. Mais si je te prive de ton accès à mon vagin, tu seras perdu. Comme un homme à la mer, cherchant désespérément sa bouée vaginale. Donc, le vagin l’emporte sur le pénis, conclut-elle en souriant.
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– Ok, je réponds en mettant le haut-parleur et en attrapant ma guitare. Mais surtout, si tu t’ennuies, n’hésite pas à raccrocher.
– Bébé, je pourrais te regarder peindre un mur blanc avec un Coton-tige que je ne m’ennuierais pas. 
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– C’était qui, ça ? chuchote Summer à mon oreille.
– Tu veux dire Logan ? Il habite ici. Mais ne te fais pas d’idée, il a une copine.
– Non, pas lui, le grand avec les tatouages.
– Ah, Fitzy. Colin Fitzgerald. Un des coéquipiers de ton frère.
Les yeux verts de Summer pétillent tandis qu’elle rejette de nouveau ses cheveux en arrière.
– Je le veux, déclare-t-elle.
– Summer ! aboie Dean tandis que je fais de mon mieux pour ne pas rire.
– Quoi ? Je dis la vérité, c’est tout. Sois honnête ou sois un enfoiré, tu m’as appris ça quand j’avais douze ans, tu te souviens ? Quand j’ai volé ton t-shirt préféré et que je l’ai fait tomber dans les égouts sans faire exprès ?
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