Jamais, ailleurs que chez moi à Procida, je n’ai connu des silences aussi fantastiques. Il semblait que dehors, il n’y eût plus eu de village avec ses habitants ; mais un grand estuaire désertique sur une mer calme, à une heure où les mouettes et les autres animaux aquatiques ou terrestres se reposent et où il ne passe aucun navire.