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Citation de Aaliz


Aaliz
24 février 2015
Le temps de déjeuner, et l’eau s’était déjà retirée des rues. Sur les quais détrempés, des hommes enlevaient les galets que la mer avait laissés jusque devant les grands hôtels et les belles villas. Le soleil n’avait rien d’apaisant. La mer grondait et montrait ses dents blanches. La Promenade était presque vide à cause du temps et de l’heure. Soudain, je vois la mer qui se creuse, des vagues se cabrent comme des chevaux, queues et crinières blanches au vent, elles sautent par-dessus le parapet ! Je suis restée longtemps à regarder faire les vagues. Les balayeurs ont presque fini d’enlever les galets, remettent en place les fauteuils blancs renversés, trempés. Je suis bien dans mon manteau, je n’ai pas froid.
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