Il n’est pas d’état mélancolique sans cette ascension, sans une expansion vers les cimes, sans une élévation au-dessus du monde. Loin de celle qui anime l’orgueil ou le mépris, le désespoir ou le penchant effréné pour la négativité, cette ascension est issue d’une longue réflexion et d’une rêverie diffuse nées de la fatigue.