- Cette maladie, c'est comme un train à grande vitesse. Quoi qu'on fasse, ça ne s'arrêtera pas, Luke. Au mieux, ça ralentira à peine. Personne ne t'oubliera, mais moi... Le jour où le train sera arrivé à destination, je n'existerai plus pour mon père. Je n'existerai plus pour personne.
- C'est faux, Valentine.
- Tous mes souvenirs, tout ce que j'ai fait, tout ce que je suis, toute ma vie, tout est lié à mes parents. Il n'y a personne d'autre.