La finesse de l'étoffe de sa culotte permettait de distinguer la courbe de son postérieur. Une pièce y avait été cousue pour masquer un accroc, délicate imperfection qui notait rien au charme de son derrière. Sa chair était plantureuse. L'heureux homme qu'elle autoriserait à s'allonger au-dessus d'elle aurait de quoi s'occuper les mains. Ses seins étaient splendides, ses bras aussi souples que gracieux.