- Je vais te dire une chose, tu ne te froisseras pas. Tu es grotesque, absolument grotesque. Tu es comme ces gens qui s'imaginent que parce que les Boches sont là, on va les arrêter. Ils n'ont rien fait et ils longent les murs. Ils veulent se rendre intéressants. Personne ne les connaît, personne ne s'occupe d'eux et ils se cachent, et ils font toutes sortes de simagrées. Un homme intelligent comme toi, tomber dans ce travers, c'est quand même malheureux. Et le plus drôle est qu'on finit par les arrêter vraiment. (p.140)