Sans compter que faire dire à des personnages de l’Antiquité, en toge ou jupette, des choses comme "Salut à toi, Paulus, viens donc dans l’atrium", il y a des gens capables de faire ça sans sourciller, moi pas. C’est le problème du roman historique, a fortiori du péplum : j’ai tout de suite l’impression d’être dans Astérix.