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Critiques de Emmanuel Dadoun (18)
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Microphobie

Un homme est retrouvé mort assassiné au bas d'un échafaudage à Rennes ,il s'agit d'un ancien repris de justice et c'est l'inspecteur Kowalski qui est chargé de l'enquête .Il va retrouver un ancien compagnon de cellule de la victime qui était garde du corps d'un magnat de l'industrie pharmaceutique ,Gary Plyton .Qu'est- ce qui lie tous ces personnages? Kowalski compte bien le trouver sans savoir qu'il est peut-être manipulé .Un bon polar .
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Les Zombies n'existent pas

L’homme laisse les cadavres à la pelle sur son chemin. A st Brieuc, à Brest, à Agen, à Paris. A chaque victime, il coupe un doigt de la main gauche. Pas de sa faute, c’est la voix qui lui ordonne de passer à l’acte. L’inspecteur Kowalski, chargé de l’enquête, a du mal à comprendre le mode de fonctionnement et les motivations du tueur. Un tueur vite identifié d’ailleurs, un certain Picquier. Le problème, c’est que Picquier est mort et enterré. Depuis un an. Suicide par pendaison, le légiste qui a pratiqué l’autopsie l’a confirmé avec certitude. Or, les zombies n’existent pas, on a donc affaire à un sosie, pas possible autrement. Mais pour être sûr, il vaut mieux exhumer le corps du « vrai » Picquier. Seulement, en dessellant le caveau, on ne trouve à l’intérieur aucun cercueil…



Les Zombies n’existent pas est une adaptation du thriller « Lazarus » d’Emanuel Dadoun. Une histoire de Serial Killer glaçante, mystérieuse, chamanique. Le premier album d’un auteur de 23 ans que je qualifierais avec plaisir de « couillu ». Parce qu’il fallait oser se lancer dans un roman graphique aussi dense et ambitieux. La narration est aussi torturée que l’esprit du meurtrier et il faut parfois s’accrocher pour suivre mais tout se tient. On alterne entre le point de vue du tueur et celui de l’enquêteur, on saute en une page d’un lieu à l’autre, du présent au passé, de la France au Mexique. Et tout se tient. Ça mériterait parfois d’être un poil plus fluide, plus limpide, mais rien de bien méchant.



Et puis au niveau du dessin, c‘est énorme je trouve. Du noir et blanc très travaillé, un gros jeu sur les ombres et le cadrage, un trait qui n’est pas sans rappeler celui de l’excellentissime argentin Eduardo Risso, bref, j’adore.



Une bien belle surprise, donc. Un auteur débutant qui prend autant de risques et parvient à créer une ambiance pesante à souhait avec une telle maîtrise graphique, chapeau bas. Et vivement votre prochain album, monsieur Escallon !


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Lazarus

Piquier tue dans les villes, sans logique apparente. Il obéit à un rituel : une victime anonyme, un doigt coupé et un signe cabalistique tracé au sang sur un mur. Il ignore pourquoi il agit ainsi, c'est une voix dans sa tête qui le force à commettre ces actes... L'inspecteur Kowalski enquête et dessine le portrait-robot d'un homme, mort depuis dix ans. Premier roman.

Ce premier polar ambitieux est un mélange de roman social, polar fantastique et enquête classique. On y trouve même quelques touches philosophiques. Une intrigue magistralement menée, des personnages singuliers et très attachants, malgré leur noirceur. L'écriture est belle et le style est original. Une belle découverte.

Un serial killer violent, mystérieux, cruel, tortueux, machiavélique, vicieux

Un roman minéral, morbide, sanglant, noir et effrayant.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Les Zombies n'existent pas

Sylvain Escallon nous entraine dans un univers sombre et morbide dans lequel un homme tue suivant une voix qui le guide... Une enquête noire et sanglante qui oppose le traditionnel inspecteur désabusé à un homme insaisissable. Une BD mystérieuse par ses thèmes (la mort, la résurrection, la magie noire, la schizophrénie, la recherche de la vérité) et sombre par son traitement qui se joue des codes du roman noir pour perdre le lecteur dans les méandres d'un monde entre noirceur et violence...
Lien : http://art-enciel.over-blog...
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Microphobie

J’ai apprécié la lecture de ce roman, notamment parce que le lecteur ne s’ennuie pas une seconde. Il n’y a pas de moment de flottement dans l’histoire, tout va très vite et chaque page apporte son lot d’informations nouvelles. Ainsi, c’est un roman qui a du rythme, grâce à des chapitres très courts et une alternance de points de vue. En effet, nous sommes alternativement dans les pensées de Kowalski, dans un point de vue omniscient, et dans la tête du « méchant » de l’histoire. Le lecteur pénètre également l’univers de l’industrie pharmaceutique et ses problématiques, c’est intéressant.



En revanche, il n’y a pas beaucoup de suspense car, du fait d’une narration omnisciente, le lecteur connaît assez rapidement l’identité de la personne qui est à l’origine du meurtre, bien avant que Kowalski parvienne à dénouer l’affaire. Ainsi, le seul enjeu de la fin du roman est de savoir si Kowalski va parvenir à la bonne conclusion et s’il va parvenir à arrêter le « méchant » dans son œuvre destructrice. J’imagine que les grands amateurs de roman policier peuvent être frustrés par une telle façon de faire, et il est vrai que c’est un peu dommage.



Enfin, il faut avoir à l’esprit que ce roman aura vraisemblablement une suite, et que l’histoire n’est pas terminée au moment où le lecteur referme le roman. Ainsi, ce volume ne se conclut pas par une « vraie fin », la destinée de Kowalski et le devenir de son enquête restent en suspens. Attention à la frustration !



Je n’aurai pas grand-chose à dire sur les personnages, car ils sont assez peu développés. Ainsi, le héros de l’histoire, le flic Kowalski, reste une esquisse pour le lecteur. C’est un solitaire qui a des insomnies et dont le frigo est perpétuellement vide. Il a aimé une femme, mais cela s’est visiblement soldé par un drame. Nous n’en saurons pas plus, et le personnage reste énigmatique, et finalement très conforme à la figure habituelle du policier. J’ai trouvé cela un peu dommage.



Du côté des personnages secondaires, Enid Plyton est la figure typique d’un chef d’entreprise sans état d’âme. Son épouse, la jeune Tania, accepte d’être exhibée comme un trophée en échange d’une vie de rêve. Mais le personnage le plus intéressant, c’est celui du « méchant ». Nous sommes au cœur de ses pensées, et cet homme semble avoir cédé à son côté obscur : il a renoncé à sa vie, à ses rêves, et s’efforce sans relâche de tout contrôler, d’où une certaine fascination pour les mécanismes. Sa seule tentative de rédemption a échoué, et il est maintenant plus déterminé que jamais. Il fait froid dans le dos, et pourtant, on aimerait le comprendre.



J’ai beaucoup aimé l’écriture d’Emanuel Dadoun, efficace et percutante. Je suis assez admirative de la manière dont, en quelques phrases courtes, il parvient à planter le décor d’une scène. Il nous transporte ainsi en Thaïlande, dans un aéroport australien, au cœur d’une fête foraine, ou sur une île Bretonne. Cette dernière forme le cadre idéal d’une partie clé de l’intrigue, celle qui clôt le roman.



Autre fait notable, l’auteur agrémente régulièrement son récit d’onomatopées au cours de l’intrigue, comme on le ferait dans une bande-dessinée. Ces onomatopées sont réalisées dans une typographie particulière, et participent au dynamisme du roman. C’est une petite touche d’originalité assez sympathique.



Ainsi, j’ai apprécié ce roman, notamment grâce à l’écriture de l’auteur qui m’a beaucoup plu et à ce « méchant » psychologiquement très dérangé. Néanmoins, je reste sur ma faim, car c’est un roman très rapide, qui reste un peu en surface et manque parfois de profondeur, surtout en ce qui concerne le personnage principal. De même, ceux qui recherchent un fort suspense et une véritable énigme risquent d’être déçus.
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Les Zombies n'existent pas

Un petit mot de remerciement à Babelio et aux éditions Sarbacane pour cette BD.

Je tiens à préciser que je n'ai pas lu le roman Lazarus.

J'ai eu un petit peu de mal au début, les meurtres se passent rapidement tout comme l'enquête, je préfère quand il y a plus de détails, quand l'histoire prend un peu plus son temps. C'est un des rares point faibles.

Le plus gros point fort est l'histoire, et surtout la fin, une histoire avec une vraie fin, une où ne se demande pas ce qui est arrivé aux autres protagonistes !

La BD est en noir et blanc, renforçant l'aspect tortueux, sinueux qui s'en dégage. On pense savoir qui est le tueur au début et la fin nous fait découvrir autre chose, de plus complexe.



Un talent à suivre et un livre à lire.
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Les Zombies n'existent pas

Un bon thriller, avec une certaine touche d'originalité mystique, une mise en scène nerveuse (l'alternance des points de vue est bien gérée). Bref, malgré une ou deux incohérences (comment un sniper est-il autorisé à tirer sur une voiture simplement soupçonnée de gros excès de vitesse ???), on voit difficilement venir la fin. Belle surprise, donc, pour cet album au très bon noir et blanc.
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Microphobie

Emanuel Dadoun est un auteur français né en 1969. Il a passé son adolescence à surtout écrire de la poésie. Il suit une formation en philosophie et s’oriente plus tard vers le journalisme dont dans « Nova Mag », « Libé » et « Paris Obs ». Il rédige son premier livre qui est une variation sur « Le Dormeur du Val » de Rimbaud. Vient après un roman noir intitulé: « Lazarus ».



La chronique que vous lisez en ce moment se porte sur « Microphobie », un bouquin policier paru par Sarbacane en août 2012. Il contient 235 pages et peut être trouvé dans la collection « Exprim’ ». C’est le deuxième titre de l’auteur chez cet éditeur. La particularité réside dans le thème de la nanotechnologie.



Comme l’introduction le spécifie, la nanotechnologie est au coeur de ce polar. Nous y retrouvons Kowalksi, qui est aussi en vedette dans « Lazarus », premier polar de l’auteur. La narration à deux voix nous autorise également à suivre l’ennemi, le fou furieux qu’est Duane Carte, un génie en proie à la démence. Cette plume, à certains moments omnisciente et parfois à la première personne, est très bien utilisée et permet au lecteur de se sentir, à tout moment, dans le feu de l’action.



Le problème avec ce genre récit réside dans le trop grand nombre d’informations qui nous est données. Les amateurs de roman policier purs et durs n’apprécieront peut-être pas de savoir qui est le méchant dès le début. Ce qui nous tient en haleine, par contre, c’est de tenter de le comprendre. Pourquoi? Quel passé cache-t-il pour devenir aussi monstrueux? Cet aspect philosophique apporte une force et un attrait indéniable à l’histoire.



Le départ est fastidieusement abrupt. Nous sommes plongés dans l’inconnu et le surplus de noms et de renseignements nous embrouille l’esprit. Il faut persévérer, mais malheureusement beaucoup ne voudront pas prendre cette peine. Il y a pareillement des pages superflues employées pour des onomatopées qui auraient facilement pu n’être qu’une seule ligne en fin de chapitre. Ce style, un peu bédéiste, ne m’as pas plus.



L’utilisation du temps est également spéciale. Grâce à l’écriture de l’auteur, qui est superbe, je vous le confirme, nous voyageons dans les souvenirs des protagonistes d’une section à l’autre. Présent, retour en arrière, arrêt sur image, rebond dans le passé et ainsi de suite. Personnellement, j’ai pu facilement me retrouver, mais je sais pertinemment que cette façon de faire ne plaira pas à tous. L’usage de terme presque argotique est aussi malheureux, le français international est toujours préférable, à mon avis, sauf dans les conversations (avec note de bas de page si nécessaire).



Finalement,



Une lecture mitigée, mais qui tend vers le positif. Pour un thriller rempli d’action utilisant la nanotechnologie comme thème, c’est à parcourir… si les défauts cités dans la chronique ne vous rebutent pas. 6 sur 10



On aime : la plume, la philosophie, la narration à deux voix, l’action



On n’aime pas : le départ difficile, le surplus d’information, les pages non nécessaires.
Lien : http://www.sergeleonard.net/..
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Microphobie

J'ai un avis assez mitigé pour ce roman.. Dans l'ensemble, l'histoire m'a plu ; elle est originale avec une atmosphère que j'affectionne tout particulièrement. Mais il y a certaines choses qui ne m'ont pas accroché également.. Je remercie les éditions Sarbacane pour cette découverte.



Je souligne déjà l'aspect très original de ce roman, que ce soit pour la mise en page que pour l'histoire : j'adhère totalement ! Avis très personnel sur ce point, ça n'engage que mes goûts & peut-être qu'il existe d'autres romans de ce style mais je n'en ai pas encore lu, donc pour moi, il reste une première. Par originalité de la mise en page, je vois surtout par là les onomatopées style bandes dessinées que l'on retrouve à certaines pages. Ca donne quelque chose en plus à la lecture & même si ce n'est pas grand chose, j'aime beaucoup ces touches d'originalité. Il y a certains passages où, grâce à cela, on se retrouve plongée en plein coeur de la scène, comme si on entendait vraiment les sons..

Du point de vue de l'histoire, c'est la manière qu'à le meurtrier de tuer ses victimes, qui est original.. En effet, mourir de piqûres de simples moustiques n'est pas banal ! L'atmosphère particulièrement froide & cauchemardesque se ressent grâce à ça, mais aussi grâce au meurtrier lui-même..



Les chapitres sont relativement courts & nous proposent le point de vue de différents personnages. On est tantôt impliqué dans l'enquête de Kowalski, ses réflexions, son avancée, puis transporté dans un tout autre pays pour assister à des morts plutôt rapides & incroyables.. Il y a aussi des chapitres « Arrêt sur image » où l'on entre dans les pensées du tueur & des chapitres « Rembobinage » qui nous offrent des petits flash-back pour nous expliquer ce qu'il se passe dans le présent. Toute une mise en scène bien pensée qui nous permet de ne pas stagner au niveau de l'enquête donc de ne pas nous ennuyer. Surtout qu'au début, on ne situe pas encore très bien l'histoire, les éléments se mettent en place progressivement & nous n'avons pas encore tout en main. Malheureusement, le suspense retombe assez vite : on sait rapidement qui est qui.. reste à savoir pourquoi. Malgré tout, l'auteur nous laisse un goût d'impatience à la fermeture de son roman.. Il y a sûrement une suite & vu comme cela se termine, on a très envie de la découvrir !



Je dirai que le plus gros point faible de ce roman, c'est ses personnages.. Difficile de s'attacher, s'identifier ou ne serait-ce seulement de se rappeler un personnage en particulier.. Je ne les ai pas trouvé assez développé, on en sait très peu sur eux (même s'il y a quand même quelques informations pour certains avec les flash-back). Ils ne marquent pas beaucoup & j'ai trouvé cela dommage. Surtout que Kowalski me semblait intéressant..

Le tueur est sûrement le plus intéressant pour le moment. On en sait plus sur lui, du moins sur son passé, que sur les autres personnages & on peut voir qu'il est complètement dérangé, pour des raisons bien expliquées. Un vrai méchant qui ne l'a pas toujours été..

Les personnages ont vraiment beaucoup de potentiels, j'aurai aimé qu'ils soient plus développés, simplement.



Le style de l'auteur est particulière. Les phrases sont parfois courtes, avec un seul mot par exemple.. D'habitude, ça me dérange, parce que ça me coupe le souffle.. Mais j'ai trouvé que l'auteur gérait très bien cette façon de faire car il ne le fait pas n'importe quand. Ca arrive vraiment dans des situations propices, & même quand il n'y a pas de suspense, il y a cette tension que l'auteur a su intégrer.



Pour conclure, c'est un roman policier bien sympathique qui arrive tout de même à nous surprendre par moments & à nous intéresser. J'ai été très contente de le découvrir & aucunement déçu malgré les points négatifs que j'ai pu relevé. Je suis curieuse de découvrir la suite, la fin m'ayant laissé sur une situation dont j'aimerais des réponses..
Lien : http://laviedeslivres.cowblo..
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Les Zombies n'existent pas

Un homme se déplace de ville en ville et tue. Il ne sait pas vraiment pourquoi il fait ça. Il agit sous l’impulsion de voix qui le forcent à commettre ces actes. L’inspecteur Kowalski est chargé de mener l’enquête. Epaulé par Marcius de la police scientifique, il traque les indices semés par les cadavres qui s’accumulent à travers la France et creuse les pistes qui le mènent jusqu’au Mexique. Leurs recherches les mènent rapidement à Michel Piquier, décédé 10 ans plus tôt. Pourtant, il faut bien se rendre à l’évidence, les zombies n’existent pas ! C’est ce que n’arrête pas de se dire Kowalski. A moins que certains rituels ne permettent de ramener les morts.



Sylvain Escallon mise sur l’alternance des points de vue entre les meurtres commis et l’enquête menée et donne ainsi du rythme au récit en faisant monter la pression. Côté dessin, il s’applique à un noir et blanc franc du collier avec un gros travail sur l’encrage et de larges aplats pour un maximum de contraste qui contribue largement à tisser une ambiance angoissante à ce thriller un brin mystique.



Des morts, des vivants et des sosies qui se confondent, un grand amour de jeunesse qui refait surface, un indien mexicain qui ne lâche pas l’affaire, quelques coups de bistouri, et la folie qui flirte avec le chamanisme.

Voici un thriller en BD tortueux et habilement ficelé, très prenant !



Adapté d’un roman paru dans la collection Exprim’, collection de romans très « urbains » pour grands ados / jeunes adultes.
Lien : http://casentlebook.fr/les-z..
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Les Zombies n'existent pas

Adaptation du roman Lazarus d’Emanuel Dadoun paru aux éditions Sarbacane en 2010, Les zombies n'existent pas est la première bande dessinée publiée par un tout jeune scénariste / dessinateur, Sylvain Escallon.

L'intrigue est très prenante, on ne s'ennuie pas une seconde. Le rythme de l'histoire est tantôt lent, tantôt rapide, les rebondissements nombreux, le fait de passer du point de vue de l'inspecteur Kowalski à celui du tueur est très intéressant. On se laisse porter par le style de l'auteur, dont les masses d'encre noire traduisent bien l'ambiance sombre et angoissante qui se dégage de l'histoire...

Habituellement, je ne suis pas trop fan de ce genre de dessins, mais cela ne m'a pas empêchée d'apprécier la bande dessinée... qui m'a donné envie de découvrir le roman dont elle est tirée.
Lien : http://andree-la-papivore.bl..
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Microphobie

j'ai découvert ce livre par hasard au rayon ado d'une librairie et j'ai été vraiment emballée. Il s'agit du 2e livre de cet auteur mais il m'a donné envie de lire son premier. Le style est original et la présence des onomatopées donne un certain cachet à l'histoire. Entre poésie et thriller, un auteur à suivre...
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Lazarus

super bouquin ! l'histoire m'a bien plu et le style est lugubre à souhait !!
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Lazarus

super polar bien noir comme je les aime ! ce n'est pas toujours facile à suivre tant l'imaginaire et le réel se mélange mais cela donne une tonalité plutôt originale et glaçante...superbe découverte !
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Les Zombies n'existent pas

Cette BD est une enquête policières pleine de rebondissements, elle nous plonge dans un univers riche en mystères et surtout dans un rythme d’enquêtes successifs. De plus les dessins sont en noir et blanc ce qui permet d'accentuer l’atmosphère sombre et sinistre du livre. L'univers du livre est assez obscur et très bien adapté au scénario mais hélas malgré une bonne adaptation du scénario dans l'univers, l'auteur n'a pas correctement utilisé les éléments pour permettre une totale immersion dans le livre. En effet le coté sombre du livre et les graphismes, certes bien réalisés, n'empêche pas le lecteur de s'ennuyer par moments à cause d'un scénario trop lent et d' actions peu mouvementées (à part dans les dernières pages). L'histoire est trop lente !

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Les Zombies n'existent pas

superbe adaptation d'un super polar !! le noir & blanc épouse parfaitement la moiteur et la mélancolie du roman de Dadoun...quelques petites faiblesses ici et là (surtout pour les personnages qui ne sont pas toujours bien dessinés) mais une grande intensité d'ensemble..à lire !
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Les Zombies n'existent pas

Etonnant ouvrage que cette première bande dessinée de Sylvain Escallon, tout juste vingt-trois ans. Beaucoup de polar, un peu de fantastique, un peu de mysticisme, tels sont les ingrédients des « Zombies n’existent pas », adapté du roman « Lazarus » d’Emanuel Dadoun.
Lien : http://www.actuabd.com/Les-Z..
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Microphobie

Je peux dire que j'ai aimé ce roman et que j'ai hâte d'avoir le fin mot de cette histoire. Je lis peu de romans policiers depuis quelques années mais cela reste un genre que j'apprécie beaucoup et c'est toujours un plaisir de me faire apprentie-détective le temps de quelques pages. Cette enquête se mêlant au milieu scientifique et se déroulant en partie près de chez moi, je ne pouvais être que comblée.
Lien : http://litterature-jeunesse...
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