Le footballeur est un héros dans la mesure où les médias reconnaissent en lui un vecteur de dépaysement pour une masse en mal d’aventure et de gloire. Hier, le héros – combattant, humaniste – aidait le peuple à sortir de la crise. Aujourd’hui, comme à l’époque romaine, il occupe les stades pour la lui faire oublier.