MONTSERRAT : C'est vrai. Tout cela est vrai. Chacun de vous a sa vérité qu'il défend, et sa vie, et ce qui est plus important que sa vie. Mais Bolivar reste le dernier, le seul espoir désormais pour les Vénézuéliens de se libérer des Espagnols ! Si je livre Bolivar, ce n'est pas Bolivar seul que je livre, mais la liberté, la vie de plusieurs millions d'hommes !
Acte II, Scène 1.