"Il n'y a que des corps ... il n'y a pas de corps", écrivait Voltaire.
Plus nous idolâtrons le corps, moins nous supportons ses limites, qui nous rappellent trop l'humilité de notre condition. La précarité de la chair laisse place à une volonté de purifier, de rectifier le corps jusqu'à l'abolir en lui substituant une machine, aussi prévisible qu'impersonnelle.