Seul l’amour pourrait lui faire barrage. Un homme qui lui ouvrirait un nouveau monde, avec qui elle partagerait sa passion pour la littérature et le théâtre ; celui dont elle a toujours rêvé, celui qu’elle aimerait à la folie, à l’opposé de l’ancien boxeur avec qui elle a eu une aventure sans lendemain, il y a peu, un gars lourd et brutal, un pois chiche dans la tête. Henry serait-il celui-là ? Quoi qu’il en soit, un type qui aime Dostoïevski ne peut pas être mauvais.