En 1942, Leclerc confie au volontaire FFL américain Hassoldt Davis (dit Bill Davis) que la France libre aurait pu bénéficier des « combattants superbes » que sont les Nord-Africains. S'il regrette de ne pouvoir faire appel à des soldats maghrébins avant 1943, Leclerc fera à son corps défendant grand usage des troupes issues du Cameroun et de l'AEF.