Erick de St-Preux

Biographie :

Passionné d’Histoire dès son plus jeune âge, confronté à la nécessité de nombreuses adaptations, sociales et culturelles, Erick de St-Preux s’est tout naturellement intéressé à la science politique et au commerce international.
Émigré plusieurs fois, vivant depuis 40 ans dans un pays d’immigration, l’auteur s’est enrichi de l’hétérogénéité culturelle des milieux dans lesquels il a été amené à vivre et à réfléchir sur leurs cheminements historiques et sociaux.
Ses voyages professionnels et d’agrément l’ont encouragé dans l’analyse, en lui donnant l’occasion d’écrire de nombreux carnets de voyage ce qui lui a permis d’approfondir son sens de l’observation et sa réflexion sur les différences de vivre et de penser.
Invité à animer des cours universitaires en commerce international, l’auteur s’est exercé à la synthèse d’années de réflexion.
Intéressé au début des années 1990, à découvrir cette « autre moitié » de nous-mêmes, Européens, Erick de St-Preux s’est engagé professionnellement dans ce que l’on appelait « l’Europe de l’est ». Cette découverte de ces pays soumis à des régimes totalitaires pendant plus de 4 voire 7 décennies, l’ont fortement questionné sur une idéologie sensée avoir été conçue pour « le bien des peuples » !
Cette réflexion s’est inscrite dans une nouvelle dimension en travaillant en Asie où la dualité similarité/opposition Japon-Chine ne peut que porter à l’analyse.
L’évolution vers plus de libertés en Chine sous Hu Jintao, après la crise financière de 2008 lui fit entrevoir un avènement progressif certes mais irrémédiable vers la démocratie. L’arrivée de Xi Jinping « Imperator » au pouvoir en Chine a remis en question ses certitudes quant à la force inéluctable de la démocratie, amenant l’auteur à une réflexion en profondeur sur les mécanismes inhérents au développement du totalitarisme qui par essence est confrontationnel.
La crise du Covid 19 frappant par surprise les démocraties, les réponses nécessairement fortes de leurs gouvernements ont laissé Erick de St-Preux dans la stupeur de réaliser que les actions, généralement bien intentionnées de ces gouvernements démocratiques, ressemblent fortement, en l’absence d’opposition parlementaire (état d’urgence sanitaire) et de contradictions et questionnements journalistiques, aux prémices de ces mécanismes menant au totalitarisme.