Je ne mesure plus combien nous nous sommes endurci le cœur autant que l’esprit. À quel point, pour nous, la mort est désormais anodine. Seule nous préoccupe encore la probabilité de notre propre trépas, et nous sommes prêts à tuer le premier qui attente à notre instinct de conservation. À occire notre prochain pour un fond de quart de mauvais vin.