La jeune Africaine s’agenouille sans mot dire, tête baissée, yeux fermés et fesses incroyablement rebondies sous son pagne carmin.
En un instant, elle ne porte plus sur elle que son diël-diëly, cette ceinture de perles parfumées dont la fragrance et le bruit ont le don de mettre l’abbé, quand il la besogne, dans un état proche de l’épectase.
Angèle a les mains jointes en prière et laisse reposer ses seins ronds et pleins sur le velours de la partie haute du prie-dieu.