Deux régiments s'avançaient sur le quai de la gare, pour aller rejondre la Maginot. Et de guerre en guerre,on adaptait les chansons, La Maginot, La Madelon, le même nombre de pieds, c'était facile. Mais vingt ans de paix n'avaient rien arrangé, les pioupious français chantaient toujours aussi faux.