Ce dont nous avons besoin, disait l’un des supérieurs de Friedel, c’est d’une Mobilisation de l’Action. » Friedel acquiesçait. Entre-temps, habitué à recevoir d’en haut des ordres qui avaient tout de commandements militaires, il ne percevait même plus le vague et l’absurdité de ces phrases. Oui, se disait-il, Mobilisation de l’Action. Pourquoi pas ?