Extrait de : « La cour d’Artus » (encore nommé : « Le Jeune Traugott »).
Traugott conclut à peu près de ces paroles que vivre dans la vie, c’était n’avoir point de dettes, posséder beaucoup d’argent, bien boire, bien manger, se donner une jolie femme, des enfants bien sages, élégamment vêtus, bravement digérer, profondément dormir et surtout se garder des mauvais rêves. « Quelle misérable vie ! » S’écria-t-il, lorsqu’il se trouva seul dans sa chambre.