Il y a un passage fameux dans la mort de Wallenstein(II,3)
Sachez-le :les pensées et les actions des hommes ne sont pas comme des vagues de la mer qui sont agitées de façon aveugle.Le monde intérieur,son microcosme,est le puits profond d’où elles sourdent sans cesse.Elles sont nécessaires,comme le fruit de l’arbre ;le hasard ne peut les modifier par des tours de passe -passe.Dès que j’ai examiné ce qu’il y a dans le cœur de l’homme,je connais son vouloir et son agir.