Jean-Marie Rouart dit dans la préface que Pont-Aven, grâce à un séisme pictural, va entrer dans la légende et acquérir la gloire de ces lieux qui ont le privilège d'avoir senti souffler l'esprit. Beaucoup plus qu'à Barbizon qui a aussi laissé une école talentueuse de la douceur et de la sérénité à l'image du pacifique Millet et du paisible Corot. Ce sont des lieux de charme. Ils n'ont pas été embrasés comme Pont Aven par le feu d'un génie tumultueux