Le vigie de Kpat Vën
un génie créateur qui s’était révélé çà et là, pour ainsi dire, à son insu, tantôt par des poésies étincelantes de fraîcheur et de jeunesse ; tantôt par des mélodies empreintes de grâce et de sé-rénité, ou bien par de larges ébauches d’une couleur puissante et lumineuse, car il y avait une affinité étroite entre les vers, la peinture et la musique de ce jeune homme, parce que, après tout, la poésie est une, qu’elle se traduise par un chant, un poème ou un tableau, seulement le génie complet parle ces trois langues. (p504)