Je sais ce que c'est de se réinventer pour rester dans la course : je comprends ça. (...) Je sais aussi que, lorsqu'une femme s'embarque dans le rafistolage esthétique, telles mes clientes privées, il y a rarement un stade où elle dit : " Assez. J'ai un look d'enfer. J'arrête. " Comme lorsqu'on repeint une pièce, tout le reste de la maison paraît sale et défraîchi.