Au petit matin, je suis réveillé par le chant de la gueule de bois. (…) Alors, toujours la même morale se dégage de ces histoires : celle que l’animal le plus dangereux, le plus sauvage, le plus couard, c’est l’Homme. Et le plus alcoolique. Oui, mais c’est le seul qui sache écrire.
Nonobstant, je me demande si à l’échelle de l’Histoire du Monde, l’Homme ne serait pas qu’un fait divers, son existence une chronique, et sa vie un conte.