Je fais ma Sophie de Ségur, la comtesse...C'est toute une composition avec le visage, une installation provisoire, devrais-je dire, à la façon du travail de certains artistes sur leur propre corps. Un mélange d'enfant sage et vive, d'espièglerie et d'assurance. Ca donne un résultat plutôt réussi. p.111