Citations de Felicity Hayes-McCoy (35)
Je n'ai jamais interféré dans la vie de ta mère, et elle a adopté la même approche lorsqu'elle t'a élevé. Pour des raisons différentes, peut-être, mais cela revient au même .Cette famille a toujours accordé trop d'importance à la discrétion. Nous faisons partie du même tissu, Penny . Nos vies sont tissées ensemble et nous devons l'accepter. Rien ni personne n'existe de façon isolée. C'est la nature de la vie.
Leeann sourit et dit qu'elle aurait aimé que Kit soit avec elles.
-elle pourrait te renseigner sur l'économie et la force du marché éthique.
-quel âge a-t-elle ?
-15 ans, qui tire sur les cinquante.Mais les enfants grandissent vite, de nos jours, n'est-ce pas ?Kit dit que c'est notre faute .Nous avons saccagé la planète et nous les avons laissés se débrouiller avec les retombées.
Grand-père avait raison, pensa-t-elle .Les morts que vous avez aimé ne reviennent pas .Mais c'est parce que, inconsciemment ils ne vous quittent jamais.
C'était la vie que Val avait voulu donner à Penny .Enceinte et pleurant la mort de Simon, elle avait tricoté un châle pour son bébé à naître, crochetant et entremêlant l'angoisse et l'amour dans la douce toile jaune.
Lorsque Val était devenu trop grande pour les manches bouffantes et la broderie anglaise, Marguerite était passé à autre chose, et les caftans à paillettes, les poignets empesés et les garnitures cramoisy avaient été découpés et utilisés pour customiser les vestes en jean de Val. Chacune était une œuvre d'art et, bien qu'elle ne l'ai jamais dit, le fait de les porter avait donné à Val le sentiment qu'elle pourrait aller n'importe où et faire n'importe quoi, porté par la certitude qu'elle avait le soutien tranquille de sa mère.
Je commence au commencement, mademoiselle Casey , je continue jusqu'à ce que j'arrive à la fin et alors, je m'arrête. C'est la manière dont j'aime appréhender les tâches qui m'incombent dans la vie.
Par ailleurs, ces heures solitaires passées sur la route étaient des oasis de liberté et de silence. Et elle en avait follement besoin.
Conor s’était senti un peu idiot à tourner les pages comme si c’était le Livre de Kells (1)
(1) Un manuscrit enluminé, réalisé par des moines de cuture celtique aux alentours de l’année 800, et considéré comme un chef-d’œuvre du christianisme irlandais et de l’art irlando-saxon.
Nous avons tellement de chance, n’est-ce pas d’avoir le bibliobus. Je veux dire, c’est tellement un truc communautaire. Ca réunit les gens. Et beaucoup mieux que de balancer une fortune sur Internet pour acheter des livres qu’on ne lit qu’une seule fois.
Je serai bien mieux ici avec Ger et toi. Nous aurons un vrai Noël en famille et nous lèverons nos verres aux vraies relations.
En servant le thé, elle se dit qu'elle avait fait son possible. Les garçons le savaient aussi , bien sûr, et c'était pour cette raison qu'ils se sentaient à la fois aussi mal et en colère.
En servant le thé, elle se dit qu'elle avait fait son possible. Les garçons le savaient aussi, bien sûr, et c'était pour cette raison qu'ils se sentaient à la fois aussi mal et en colère.
-Quoi qu'il en soit, entre le contenu du livre et les souvenirs de soeur Michael, nous avons réussi à redonner toute sa vitalité au jardin.
Elle se rappelait ce qu'il avait dit. Pour être un gagnant, il n'y avait qu'un seul moyen fiable : faire en sorte que votre adversaire se sente bête.
Durant des siècles, les rayons de soleil et la cire d'abeille avaient assombri à la fois le jeune bois et l'ancien. La bande que Fury était en train de graver paraîtrait presque dorée en comparaison de la tablette sur laquelle il allait la fixer. Mais elle aussi foncerait avec le temps, racontant sa propre histoire à ceux qui avaient des yeux pour regarder.
En tirant un trait sous sa signature, elle avait eu l'impression de barrer la culpabilité et l'appréhension qui avaient marqué ces cinq dernières années.
Elle retourna l'enveloppe dans sa main et se dit qu'une lettre n'était rien d'autre que des mots sur du papier. Et une bibliothécaire savait mieux que quiconque que des mots écrits sur du papier, au mépris de l'espace et du temps, pouvaient changer la vie d'une personne.
Est-ce que ce n’était pas étrange, ajouta-t-elle, de sentir que si tout le monde unissait ses efforts, on pouvait affronter le monde ?
Tout dans la vie arrive en son temps. Un temps pour planter, un temps pour pousser et un temps pour moissonner. Et si vous prenez les choses avec constance, vous rapporterez votre récolte à la maison.
Petits esprits et grands egos, les deux font la paire !