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4/5 (sur 5 notes)

Nationalité : Brésil
Né(e) à : Rio de Janeiro , le 12/02/1961
Biographie :

Fernando Molica est écrivain et journaliste.

Journaliste de formation, diplômé à l'Université fédérale de Rio de Janeiro, directeur de l’Abraji (Association Brésilienne de Journalisme d’Investigation), il a travaillé pour les plus grands médias brésiliens et a reçu divers prix au cours de sa carrière. Il est aujourd’hui présentateur à la radio.

Il est l’organisateur de deux anthologies de reportages – notamment l’excellent "50 anos de crime" (2007) relatés par la presse.

Il a également publié le livre-reportage "L’Homme qui est mort trois fois" (O Homem que Morreu Três Vezes, 2003), qui a reçu la mention d’honneur du Prix Vladimir Herzog 2004, le plus grand prix journalistique brésilien, attribué à des professionnels qui se distinguent dans la lutte pour la démocratie, la citoyenneté et les droits de l’homme.

En tant qu’écrivain, Fernando Molica est l’auteur de six romans dont "Révolution au Mirandão" (Notícias do Mirandão, 2002) et a participé à diverses anthologies au Brésil. Il fera partie du collectif "Je suis encore favela", à paraître au printemps 2018.

Il a été deux fois nommé pour le Prix Jabuti, équivalent du Prix Goncourt. Deux de ses romans sont publiés en Allemagne.

Twitter : https://twitter.com/fernandomolica
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Citations et extraits (6) Ajouter une citation
"Celui qui sait n'attend pas que les choses arrivent."
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"On ne retrouve pas cette tension palpable, tant de fois décrite dans les reportages sur les enterrements de trafiquants. L'ambiance est différente - c'est vrai qu'il t a toujours quelque chose de bizarre dans un enterrement auquel assistent des reporter."
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"Il doit exister un autre avenir et il faut travailler pour le construire.
Elle a trouvé une meilleure alternative, plus vaste : l'éventuel triomphe du processus révolutionnaire, qui pourrait lui garantir beaucoup plus qu'une misérable bourse à Paris. Entre la certitude d'être étudiée comme un phénomène - une sorte de fleur dans la boue - et la possibilité de faire l'Histoire, elle n'a pas douté.
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seule l’odeur perdure. une odeur propre aux favelas, une odeur qui n'apparait pas dans les images de télévision ou du cinéma, qui n'imprègne pas le papier du journal ou du livre. une odeur inhumaine qui étourdit, une odeur didactique, qui souligne l'existence dans cette zone, de gens qui ne devraient pas sentir cette odeur là tous les jours, toutes les nuits.
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"Mais, pour la première fois, il sent que la révolution qu'il a tant étudiée a un bruit, des images, une odeur - une très bonne odeur d'ailleurs, l'odeur du corps de Joana, une odeur qui supplante celle de la favela. La révolution peut aussi être douce..."
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les habitants ont changé. L'arrogance des jeunes a remplacé la servilité de l'héritage esclavagiste, qui engendra pendant longtemps des comportements quasi caricaturaux.
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