Mais si je ne reconnais à personne le droit de me juger, je sais cependant que l'on me jugera, lorsque je ne serai plus un défenseur sourd et sans voix. Je ne veux pas partir sans laisser un mot en réponse - une parole libre et non contrainte - non pas pour me justifier, certes non ! Je n'ai de pardon à demander à personne, mais comme ça, parce que tel est mon bon plaisir.