Dans deux mois, si rien ne se présentait, il était bon pour fêter le premier anniversaire de son inscription à pôle emploi avec son conseillé attitré ; un type qui, la première fois qu’il l’avait reçu, s’était presque étonné qu’il préfère se casser la tète à chercher du travail au lieu de royalement vivre des allocations auxquelles son handicap lui donné droit. Un abruti, quoi. Autant dire qu’il laisserait Champagne et cotillons au placard.