"Dieu du ciel, ça me dégoûte profondément, cette poignée de cheveux devant moi, c'est répugnant au possible, j'ai hâte qu'il en finisse avec son appel et qu'il vienne enlever et ranger ce paquet informe de cheveux, qu'il le fasse disparaître de ma vue. Ca me fait penser au mémoriel d'Auschwitz, ces tas de cheveux et de valises et de vêtements et de dents arrachées à leurs bouches." (p. 120)