Les masses alors s’agitent, vibrent et se déploient. Ce qui ne semblait être que deux amas se révèle être ce qu’ils sont finalement : deux membranes d’une finesse extraordinaire, qui à contre-jour du feu laissent apparaître un réseau de veines bleues fines et délicates. Deux ailes. Ces ailes qui font depuis la nuit des temps de chaque homme du village un Bââ.