Les paysages sauvages et montagneux du Gévaudan et les intempéries représentent autant d’obstacles à l’exploration du territoire et à la traque de la bête. Les chasseurs craignent en particulier les bourbiers dissimulés sous l’herbe verte. Leurs pieds s’enfoncent dans une vase gluante et persistante qui les retient prisonniers. La seule façon pour eux de s’en sortir est de marcher à quatre pattes vers la terre ferme.