Antoine-Claude aimait le pouvoir. Non pour lui-même, ni pour asservir les autres, mais pour les subtiles combinaisons que permettait l'autorité. Quel jeu enivrant que de voir ainsi ployer un à un devant soi tous les gens ce pays-ci ? C'était pitié que de vérifier chaque jour la bassesse des hommes, leur appétit de paraître et leur cupidité.