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3.7/5 (sur 5 notes)

Nationalité : France
Né(e) : 1904
Mort(e) le : 02/1975
Biographie :

Ayant perdu sa mère à onze mois, Florise Londres sera élevée par sa grand-mère et par son père, le célèbre journaliste globe-trotter Albert Londres, sans cesse revenant d’un reportage en Chine, partant pour une enquête à Rio. Deux ans après la disparition d’Albert Londres, en 1932, Florise écrit une passionnante biographie. Au-delà d’un portrait intime, filial, c’est toute la personnalité du reporter qu’elle sait rendre dans ce livre.
Romancière, journaliste, Florise Albert-Londres épouse Martinet a consacré sa vie au souvenir de son père.
Le Prix Albert Londres a été créé par Florise Martinet-Londres en mémoire de son père, disparu le 16 mai 1932, lors du naufrage du paquebot George Philippar au large de Gadarfui, dans la Mer Rouge. Un an après le décès de son père, Florise réunit les amis confrères d'Albert Londres pour créer le Prix.
Florise Albert-Londres a consacré sa vie au souvenir de son père. Sans héritier, elle a légué tous ses biens à l'Association du Prix Albert Londres, reconnue d'utilité publique, afin de perpétuer la récompense annuelle accordée à un jeune journaliste francophone de moins de 40 ans, digne de ses aînés. La volonté de Florise Londres étant que le prix découvre un talent plutôt qu'il couronne une carrière.

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Source : Editeur
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Pardonne-moi, mon père, si, tout au long de ces pages, je n'ai fait que te regarder vivre avec simplicité, sans essayer de traduire tes rêves innombrables et l'immense beauté et l'inaltérable bonté qui reposaient en toi. La tâche était au-dessus des pauvres mots humains. Comment sur terre, tracer un coin de ciel ?
Je ne peux qu'humblement t'écouter encore. (p.229)
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Cette horreur du temps perdu, des insipides conversations, que tu affichais à vingt-quatre et vingt-cinq ans, non seulement ne s'atténuera point au cours de ta vie si pleine et si courte, mais deviendra le secret de ton travail et de ta force. (p.17)
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